Jeudi, 28 mars 2024

«Y aller mollo» avec le déconfinement

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Francois Munger
Francois Munger
MédiAT
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Le premier ministre François Legault a annoncé cet après-midi ce qu’il considère comme étant des petits assouplissements, affirmant vouloir «Y aller mollo» face à l’incertitude qui règne. Alors que les experts croient qu’il devrait y avoir une petite baisse dans les hospitalisations, mais qu’on ne semble pas être en mesure de visualiser celle-ci sur la ligne de temps, Québec fais le compromis de donner un peu d’air à ses citoyens pour la santé mentale de ceux-ci.

À partir du lundi 31 janvier

  • Rassemblements autorisés à 4 personnes OU 2 bulles familiales dans les maisons
  • Salles à manger ouvertes à 50% de capacité – tables à 4 personnes OU 2 bulles familiales – passeport vaccinal – Fermeture à minuit (fin de la vente d’aliments ou de boissons à 23h)
  • Cafétéria des chalets de ski – 50% de capacité – tables à 4 personnes OU 2 bulles familiales – passeport vaccinal
  • CHSLD : 2 visiteurs autorisés – 1 à la fois maximum
  • RPA : 4 visiteurs – 2 à la fois maximum
  • RPA :  4 résidents par table avec distanciation ou plexiglas
  • Parascolaire permis
  • Sports pour les moins de 18 ans permis, 25 personnes maximum, pas de matchs
  • aquariums, jardins botaniques, insectariums, jardins zoologiques et autres lieux similaires – 50 % de la capacité.

Le gouvernement a également annoncé une deuxième phase de ce micro-plan de déconfinement pour la semaine du 7 février.

À partir du lundi 7 février

  • Ouverture des salles de spectacle et cinéma – 50% de capacité – maximum 500 personnes – passeport vaccinal
  • Lieu de culte – 50% de capacité – 250 personnes – passeport vaccinal
  • Lieu de culte – sans passeport vaccinal (funérailles) – 50 personnes à l’intérieur
  • Événements extérieurs – limite de 1 000 personnes- passeport vaccinal

Du côté des gyms, sports et bars, François Legault a affirmé avoir une volonté de faire des assouplissements dans ces domaines mais ne pas être en position d’annoncer quoi que ce soit en fonction de la situation actuelle dans le réseau de la santé.