L’affaire remonte au 19 janvier 2014, alors que la victime travaillait pour l’accusé. Celui-ci serait allé la rencontrer dans un placard à balais pour l’agripper et l’aurait relâchée lorsqu’elle a repoussé ses avances.
Le juge a imposé une peine de 90 jours d’emprisonnement à purger les fin de semaines en plus d’un liste d’autres conditions.