La Corporation aurifère Monarques ne cesse d’annoncer des nouvelles positives pour son projet Wasamac à Rouyn-Noranda. Une étude révèle en effet que les résidus miniers du projet Wasamac seraient potentiellement non-générateurs d’acide et pourraient même réduire l’acidités des parcs d’autres mines.
Par voie de communiqué, Monarques estime donc que ces nouvelles considérations auraient un impact majeur sur les paramètres économiques du projet Wasamac. Les infrastructures reliées a la gestion des résidus ne seraient pas tous nécessaires. Cela permettrait donc des économies importantes.
Ces résultats ont été obtenus à la suite d’une étude métallurgique réalisée en 2018 et sur des analyses géochimiques plus récentes provenant des quatre zones minéralisées de Wasamac.
«Les résultats montrent clairement que les résidus miniers de Wasamac sont potentiellement non générateurs d’acide (NGA), avec très peu ou aucune tendance à générer de l’acidité nette, a-t-on expliqué dans un communiqué. De plus, ils démontrent que les résidus contiennent une capacité excédentaire permettant de neutraliser l’acide provenant de sources externes. Cette conclusion est fondée sur l’abondance de minéraux de carbonate de calcium et de magnésium dans le minerai et les résidus…»
«Cette étude est d’un grand intérêt pour nous, car elle montre que les résidus miniers de Wasamac auront moins d’impacts sur l’environnement que s’ils étaient générateurs d’acide », a déclaré le président et chef de la direction de Monarques, Jean-Marc Lacoste. De plus, le potentiel de neutralisation de l’acide sur les parcs à résidus existants à partir des résidus miniers de Wasamac démontre que Wasamac pourrait être un choix économique évident pour plusieurs usines.»