Jean-François Vachon briguera l’investiture au PQ dans Rouyn-Noranda-Témiscamingue
L’ancien journaliste et adjoint aux communications du député fédéral du Bloc Québécois, Sébastien Lemire, Jean-François Vachon a annoncé ce matin son intention de briguer l’investiture du Parti Québécois en vue des prochaines élections dans la circonscription de Rouyn-Noranda-Témiscamingue.
«Étant un indépendantiste convaincu, j’ai décidé de me lancer dans cette aventure. J’ai grandi en écoutant mon grand-père me parler des accomplissements de René Lévesque et de sa vision d’un pays. Ces récits m’ont démontré une chose : le Parti Québécois a toujours été au cœur des grandes révolutions qui ont transformé le Québec en ce qu’il est aujourd’hui. À l’heure où des opportunistes se bousculent au portillon de la Coalition Avenir Québec, le Parti Québécois est le seul parti qui propose encore ce projet de société qu’est notre futur pays» soutient le principal intéressé
L’homme de 33 ans sollicite donc la confiance des militants pour la prochaine campagne.
«Je suis la personne toute indiquée pour ce défi. Mon expérience professionnelle m’a toujours placé dans un rôle d’observateur dans les dossiers de la région. Je connais les enjeux, je les ai approfondis et j’ai questionné les décideurs. Maintenant, j’ai maintenant envie de sauter sur notre seule patinoire nationale pour que nos enjeux régionaux avancent», expose monsieur Vachon
Le candidat à l’investiture fait de plusieurs enjeux ses dossiers prioritaires. La pénurie de main d’œuvre étant l’un des sujet auquel il compte s’attaquer.
«Le Parti Québécois est le meilleur véhicule pour les défis qui attendent ma circonscription et ma région, l’Abitibi-Témiscamingue. Nous sommes à la croisée des chemins. La pénurie de main-d’œuvre a des impacts considérables à tout point de vue sur notre région. Et on ne peut pas s’attendre à ce qu’Ottawa prenne des initiatives pour nous aider. Il est temps, pour le
Québec et pour la région, de devenir maître de sa destinée pour faire les choix qui vont aider notre développement», a-t-il évoqué.
Le développement économique, la pénurie de logements, les places en garderie, l’agriculture régionale, les infrastructures sportives et l’attractivité du territoire sont également parmi les sujets chauds qu’il souhaite travailler de front.