Vendredi, 22 novembre 2024

On ne profite pas de l’inflation: Les propos du RVAT

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Guylaine Beauchemin
Guylaine Beauchemin
MédiAT
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En exclusivité : Guylaine discute avec le porte-parole du Réseau Vigilance de l’Abitibi-Témiscamingue sur les enjeux brûlants de la Journée internationale des travailleuses et travailleurs

Dans une entrevue exclusive, Guylaine, animatrice de la chronique politique, s’est entretenue avec le porte-parole du Réseau Vigilance Abitibi-Témiscamingue (RVAT), Félix-Antoine Lafleur pour discuter des enjeux cruciaux entourant la Journée internationale des travailleuses et travailleurs. Cette entrevue percutante offre un aperçu éclairant des impacts de l’inflation, de la demande d’un salaire minimum à 18 $/heure et des revendications essentielles du RVAT.

L’inflation, un fardeau pour les travailleurs

Au cours de l’entrevue, Guylaine et le porte-parole du RVAT ont mis en évidence les conséquences néfastes de l’inflation sur les travailleurs de la région. Alors que le coût de la vie augmente, de nombreuses travailleuses et nombreux travailleurs luttent pour subvenir à leurs besoins fondamentaux tels que le logement, la nourriture et les déplacements. Pendant ce temps, les riches et les grandes corporations prospèrent et accumulent des profits sans scrupules.

La demande d’un salaire minimum à 18 $/heure

Une des principales revendications du RVAT est l’augmentation du salaire minimum à 18 $/heure. Cette demande vise à garantir une rémunération juste pour les travailleurs et à leur permettre de faire face aux exigences croissantes du coût de la vie. L’entrevue explore les raisons qui motivent cette demande et met en lumière l’importance d’une rémunération équitable pour tous.

Les revendications cruciales du RVAT

Le RVAT a profité de la Journée internationale des travailleuses et travailleurs pour faire entendre ses revendications auprès du gouvernement. Parmi celles-ci, on retrouve la mise en place de mesures de protection face à la hausse du coût de la vie, la reconnaissance du statut de région éloignée pour l’Abitibi-Témiscamingue dans le secteur public, un financement accru des organismes communautaires pour soutenir leurs missions essentielles, et des actions concrètes pour résoudre la crise du logement et promouvoir l’inclusion au sein des milieux de travail.