Jeudi, 26 décembre 2024

Une énorme vague de générosité en Abitibi-Témiscamingue

Publié:
Joanie Duval
Joanie Duval
Journaliste
Luc Valcourt, vice-président du CA de MédiAT et Francis Bégin, coordonnateur de l'équipe de MédiAT.Photo: MédiAT
Partager cet article

Si le reste du Québec a été aussi généreux qu’en Abitibi-Témiscamingue le 5 décembre dernier, la 24e campagne de La guignolée des médias pourrait bien dépasser son record de l’an dernier. Les gens de la région ont donné en une journée seulement près de 450 000 $.

Les médias de l’Abitibi-Témiscamingue ont affronté les éléments jeudi dernier en collectant les dons des automobilistes dans les rues de plusieurs municipalités et ce, une bonne partie de la journée malgré le vent, le froid et la neige.

« Je suis bien heureuse de vous dévoiler les montants comptabilisés jusqu'à maintenant pour la campagne de La guignolée des médias. La journée de collecte de rue d'aujourd'hui a permis de faire une grande différence pour chacune des municipalités, et ce, malgré la tempête. Les témiscabitibiens ont fait preuve d'une grande sensibilité face à l'insécurité alimentaire qui prend de plus en plus d'ampleur et ont démontré une très grande générosité », a témoigné Renée Arsenault, responsable des communications pour La Guignolée.

Un total de 446 997,74 $ a été amassé en Abitibi-Témiscamingue hier, soit près de 100 000 $ de plus que l’année dernière qui avait été une année record. La région s’était placée en deuxième position avec une collecte de 338 361 $.

Voici les montants pour chaque secteur:

  • MRC d’Abitibi (Amos) : 65 155,28 $
  • La Sarre : 46 628,12 $
  • Malartic / Rivière-Heva : 20 786,09 $
  • Rouyn-Noranda : 152 000 $
  • Témiscamingue : 60 958,25 $
  • Val-d'Or : 101 450 $

Le grand total de la campagne de cette année sera dévoilé le 31 décembre prochain. Les gens peuvent continuer à donner d’ici là de plusieurs façons. Il est possible de faire des dons en ligne via le site web de La guignolée des médias ou de se présenter chez un détaillant Provigo ou Maxi ou encore dans un concessionnaire Nissan. 

Anthony Paquette et Erik Paquette, employés de MédiAT. Photo: MédiAT