Dimanche, 9 novembre 2025

Le MRAR repart sur les routes pour Nez Rouge en 2025

Publié:
Mathieu Proulx
Mathieu Proulx
MédiAT
Les bénévoles sont essentiels au succès de l'Opération Nez rouge. Le MRAR en aura besoin encore cette année en offrant le service le jeudi soir en plus des vendredis et samedis. Photo : Courtoisie
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L’Opération Nez rouge sera de retour à Amos du 28 novembre au 20 décembre. En plus des vendredis et samedis, l’organisation pourra prendre vos appels les jeudis.

Le Mouvement de la relève d’Amos-région (MRAR) est de retour pour une deuxième année à la barre du service de raccompagnements fondé par Jean-Marie De Koninck. 

L’entreprise locale, Sylvie fleuriste, sera le présentateur officiel de l’événement en plus de compter sur les services renouvelés de l’animatrice de Radio boréale et directrice administrative pour MédiAT, Véronique Lemay en tant que porte-parole. 

Dès maintenant, les bénévoles sont invités à s’inscrire via le site web operationnezrouge.com On évalue les besoins à 12 à 15 bénévoles par soir. La Centrale des bénévoles sera située directement au MRAR au 162-2, boulevard Mercier à Amos.  

Raccompagnements en baisse en 2024

Au Québec, l'an dernier, les centrales de l'Opérations Nez rouge, ont effectué au total 20 950 raccompagnements selon les chiffres de l'organisation. Il s'agissait d'une baisse de 15% par rapport à l'année précédente. En moyenne, chaque centrale effectue une quarantaine de raccompagnements par soir d'opération. La météo et les épisodes de verglas ainsi que le calendrier plus court ont eu un impact sur les chiffres.

À Amos, en 2024, pour sa première année à la barre d'ONR, le MRAR a réussi à recruter 143 bénévoles et effectuer 299 raccompagnements.  

Le nombre de bénévoles au Québec est passé de 22 648 en 2023 à 19 495 en 2024, une baisse de près de 14%.

Avant la pandémie, les chiffres de raccompagnements dépassaient 70 000 grâce à 50 000 bénévoles. Un retour aux chiffres d'avant la pandémie est toutefois peu probable. Les habitudes de consommation des gens ont beaucoup changé depuis les cinq dernières années.