Carte d'affaires
Derrière une carte d’affaire, il y a tout un parcours et surtout une histoire humaine. J’ai créé ce podcast pour échanger avec d’autres femmes entrepreneures et les inviter à raconter leur parcours.
Camille nous partage son parcours des dix dernières années avec transparence. Elle nous parle des divers épisodes de sa vie où elle a vécu des tempêtes et comment elle a fait pour s’en sortir. Elle nous explique comment elle s’est rendue loin dans sa souffrance, les idées suicidaires, les crises de panique et le sentiment de honte face à cette période difficile. Camille mentionne également l’importance d’aller chercher de l’aide pour développer des stratégies afin de pouvoir s’en sortir, parce que oui c’est possible.
Une phrase marquante que Camille mentionne durant notre échange :
‘’La note de ma vie sonnait faux dans la mélodie du monde ‘’
Dans un deuxième temps, Camille, étudiante à la maîtrise en ergothérapie nous parle de son Guide de survie occupationnelle qu’elle a créé pour aider les gens durant le confinement.
Un guide pratique avec des exercices où elle aborde les sujets suivants :
Le livre qu’elle nous recommande :
L'insoutenable légèreté de l'être par Milan Kundera
Je lui ai parlé du livre : Le Piège du bonheur par Russ Harris
Pour la contacter
Linked : Camille Brière
Pour me suivre
Instagram : https://www.instagram.com/sophie_germainlacroix/
Facebook : Sophie GL
Derrière une carte d’affaire, il y a tout un parcours et surtout une histoire humaine. J’ai créé ce podcast pour échanger avec d’autres femmes entrepreneures et les inviter à raconter leur parcours.
Rire et réfléchir avec Francis Murphy, Geneviève Béland, Paul-Antoine Martel et leurs invités, dans une émission de radio indépendante, enregistrée devant public et baladodiffusée. On y aborde culture, société et âneries diversifiées. Quand pensez-vous? Sujets sérieux traités avec légèreté. Sujets légers traités avec sérieux.
Mathieu Proulx, Pierre-Marc Langevin et Benoit St-Pierre donnent le micro aux personnalités qui marquent la culture de l'Abitibi-Témiscamingue. Ici, l'appropriation culturelle doit être vu au 1er degré. On s'approprie NOTRE culture avec un grand C.